bn bon bon, c’est pas top et faut que je retravaille un peu mais dîtes moi tout de même ce que vous en pensez, si le coeur vous en dit…
Le néant était tout, ni plus ni moins, un rien était l’unique chose qui existait, même le temps n’était qu’un vague murmure dans le vide, une rumeur qui allait et venait mais qui jamais n’avait d’emprise sur le rien ambiant, puisque, a quoi sert le temps sans l’être ou sans une chose sur laquelle s’exercer ? Puis après quelques non-temps, voire un éternel non-temps ( mais qui pourrai l’estimer ? ) Il y eu une conscience, au centre , si toutefois dans le rien néant on pouvais y placer un centre. Toutefois,elle fut, elle était née de sa propre volontée, celle d’être, de créer, d’enfanter.
Le temps commença donc a prendre part au schéma, elle était déjà mère du temps, de l’être, elle pris la forme d’une magnifique femme aux courbes fines , aux cheveux de feu, son oeil gauche d’opale et son oeil droit de jade, sa peau luisait diaphane. de sa bouche sortit une mélodie, a la fois douce et forte, lascif et vertueux, de cette chanson neutre émergea une sphère d’une taille a la fois gigantesque et minuscule au milieu de ce tout-rien.
Une larme coula de son oeil gauche et empli la sphère a moitié d’eau, un liquide pure et divin, d’un bleu immaculé. De son oeil droit coula une larme, et, de ci de la, émergèrent de grandes ou petites étendues de terre sur lesquelles poussèrent de la verdure, de grands arbres et de plus petits. Tout en continuant de susurrer au néant sa mélodie, elle fit un geste de la main et des montagnes s’érigèrent. Satisfaite du résultat, elle insuffla a sa création la vie, de sa bouche sortit une note ultime d’ou irradiait tout l’amour et l’attachement d’une mère a sa création, le fruit de tout son être. Ainsi la vie fut, les animaux s’éveillèrent, une douce brise caressa la surface vierge de ces terres neuves, le gazouillis des oiseaux dans les bois, les bruissements des pattes de animaux sauvages sur l’herbe, le meuglement des Rystak dans les prairies , tous rendaient grâce a leur mère, celle qui donne la vie.
Satisfaite de tout ceci, elle se reposa, contemplant cette beauté changeante, l’emprise du temps sur ces êtres éphémères, le cycle de la vie était merveilleux a voire pour cet être né de son propre chef et que qui le temps n’avait pas d’emprise. Au bout d’un certain moment, elle seule pourrait dire combien de temps, un nouveau son sortit de sa bouche, plus complexe, allant dans les grave et dans les aïgus, haute puis basse, elle y mis plus de force aussi et une volonté de création encore plus exacerbé par sa longue contemplation de ces êtres simples qu’étaient les animaux, elle voulut créer une nouvelle ère, ou l’intelligence et la pensée seraient des outils pour ces êtres nouveaux. Elle les fit a son image, de grande taille, a la peau diaphane, leurs yeux d’un bleu cristallin et leurs oreilles d’une longueur de trente centimètres se finissant en pointes. le féminin avait les cheveux de feu comme elle alors que le masculin lui hérita d’une longue chevelure blé.
Elle continua son chant et éveilla en eux la vie, la pensée, la volonté, la connaissance, les secrets. puis ce fut fini, elle descendit sur cette terre et alla leur parler, sa voix était douce,celle d’une mère qui parle, aimante, a ses enfants :
Vous êtes les êtres de conscience et de magie, vous savez ce que les autres ne savent, vous parlez la langue de votre mère, celle issu du tout-rien, du non-temps. Je vous lègue cette Terre pour que vous y demeuriez ses gardiens, que vos progénitures et leur descendants y vivent et se transmettent les secrets qui vous ont été transmis.
le féminin regarda le masculin, puis leurs mère et , comme si elle parlait depuis une éternité, elle répondit a la créatrice
Un nom, un nom est nécessaire, vous êtes la déesse mère, celle qui naquit du néant et du non-temps, celle qui enfanta la Terre et la vie. Un nom est nécessaire pour transmettre a notre futur le récit de votre venue, pour louer votre grandeur.
Elle n’y avait jamais penser, un nom n’était d’aucune nécessitée jusqu’a maintenant, mais il était temps de poser un mot sur son être, pour être enfin totale et entière.
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